Les joyeux Académiciens,
retrouvailles du 14 novembre 2012 du conventum 59
Par Michel Perrault, C. 59
Quelle ambiance que celle qui a vu se réunir pour leurs retrouvailles annuelles les confrères du C. 59 le mercredi 14 novembre 2012!
Pour l’occasion et pour la troisième année consécutive (ça devient une bonne et saine manie), notre rencontre avait lieu au sous-sol du restaurant L’Académie, sur Crescent, à Montréal. Cette récente fidélité à un endroit dont le nom prestigieux nous rappelle les murs savants du Collège Sainte-Marie sur de Bleury, nous vaut bien l’appellation donnée en titre…
Notre organisateur enthousiaste, Jacques D. Girard, avait encore une fois très bien fait les choses. Une invitation envoyée longtemps à l’avance suivie de quelques rappels fort aimables a fait que nous étions 20 anciens à partager les agapes de ces retrouvailles, même si ce chiffre n’a été atteint que pour un court moment, celui où Jean Paré est passé en coup de vent entre deux audiences publiques sur le réaménagement du Quartier Latin… A-t-il au moins eu le temps de prendre un verre?
Pour revenir à Jacques D., disons aussi qu’il s’est mérité le surnom de photographe plus rapide que son flash pour la rapidité avec laquelle il nous a fait parvenir dès le lendemain de notre réunion les nombreuses photos qu’il avait prises de nos mines épanouies…
Nous étions tous heureux de revoir les amis Campeau, Marcotte et Marion et nous espérons qu’ils en feront une bonne habitude chaque automne. Dans le cas de Gilles Marion, dont la mobilité était réduite par ce qu’il appelle « des fourmis » dans le genou, nous lui souhaitons prompt rétablissement suite à l’opération qu’il doit subir pour lui retirer des fragments de ménisque.
Plusieurs conversations animées ont étayé la trame de la soirée qui a débuté par un apéritif en fin d’après-midi pour se poursuivre autour de plats tous aussi appétissants les uns que les autres. La convivialité de l’atmosphère a aussi été soutenue jusqu’à la fin par des vins joyeux apportés par chacun de nous. Parmi les sujets, citons les origines du Club Richelieu et sa dimension internationale (Gilles Brunelle) ; la relation du magnifique voyage fait en Italie et en France récemment par le confrère Roger Bourdages; les conseils financiers de Jean-Guy Masse en ces temps difficiles pour les placements; la tristesse du lock-out (et la nostalgie des beaux jours du hockey à l’ancien Forum…).
Nous n’avons pas eu le temps de profiter d’échanges avec tous (j’aurais, par exemple, aimé connaître les réactions de François Cousineau au spectacle de Barbara Streisand au Centre Bell), mais à voir les sourires qui éclairaient les visages de chacun au moment du départ, nous pouvons dire, une fois encore, que ces rencontres contribuent à raviver le bel esprit de Sainte-Marie et, plus particulièrement, celui de notre conventum.
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